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LE NOYAU
ENTRE CHIEN ET LOUP

Du 20 mai au 17 juin 2019

Commissariat d'exposition: Yann Toma

Vernissage le 20 mai 2019

Sorbonne Artgallery a le plaisir d'accueillir LE NOYAU, groupe artistique composé de six artistes engagés, exposé du 20 mai au 17 juin 2019.

CONFUSION - FAIRE ADVENIR - EST-CE UN CHIEN, EST-CE UN LOUP ? - ÉQUIVOQUE - UNE MENACE - MAL-VU, MAL-DIT - UNE PROMESSE - UN FILTRE - PRENDRE UNE CHOSE POUR UNE AUTRE.
 
Apparue en français au XIIIe siècle, l’expression « entre chien et loup » existait déjà dans l’Antiquité. On peut ainsi lire dans un texte du IIème siècle : « quand l’homme ne peut distinguer le chien du loup ». Inter canem et lupum désigne le soir ou le matin, le moment de la journée où il fait trop sombre pour pouvoir différencier un chien d’un loup. Le chien symboliserait le jour puisque tout comme lui, il peut nous guider ; alors que le loup serait le symbole de la nuit, représentant une menace, mais également les cauchemars et la peur.

Le-noyau (MANIFESTE)

Nous sommes la partie profonde du péricarpe, qui est devenue dure et ligneuse et qui renferme les drupes.
Nous sommes le petit groupe de personnes qui a donné naissance à un groupe plus vaste ou qui en forme l’élément essentiel.

Nous sommes le petit groupe cohérent agissant dans un milieu hostile ou dominant. Nous sommes le corps solide constituant la partie permanente d’une comète.
Nous sommes la région centrale d’une galaxie.
Nous sommes le massif axial recevant le collet des marches.

Nous sommes chacun des supports verticaux, montant de fond ou suspendus.
Nous sommes l’organite central et vital de toute cellule vivante qui ne s’efface que pendant les mitoses. Nous sommes le cycle.
Nous sommes l’espace où jouent pleinement les mécanismes économiques.
Nous sommes la pièce magnétique autour de laquelle sont placés des enroulements d’un dispositif. Nous sommes la partie centrale du globe.
Nous sommes la pièce en sable, en métal ou en une autre matière résistant à la matière en fusion. Nous sommes tout amas de neurones dans le système nerveux.

Nous sommes la partie centrale de l’atome.
Nous sommes la zone étanche constituée généralement par de l’argile compactée.

Alain Bernardini questionne la déformation des stéréotypes de représentation du monde du travail et de l’activité humaine. Au gré de ses réalisations, il redéfinit l’identité du sujet et lui permet d’occuper une autre place que celle qui lui est imposée.
 
Véronique Boudier maintient le cap d’une œuvre toujours surprenante dans l’économie de ses moyens et d’une constance d’efficacité directe qui se révèle d’une portée poétique et existentielle unique. 
 
Frédéric Héritier est polymorphe. Son sujet de prédilection est l’être humain. Ses pratiques sont multiples pour frapper au plus juste, le mode opératoire étant défini par l’enjeu. 
 
Véronique Hubert travaille et met en scène des personnages fictifs depuis1996, comme la fée UTOPIA. La polymorphie de sa recherche se fonde sur la complicité avec d’autres artistes, son entourage, voire avec les publics. 
 
Valérie Jouve aime à voir des villes qui seraient avant tout nourries de multitudes d’éléments vivants. Ses expositions sont souvent conçues comme des compositions visuelles, le temps d’un lieu.
 
Roberto Martinez développe un pratique artistique multimédiums et questionne la production, la circulation des images, le rapport politique et social de leur inscription dans les différents flux actuels.
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COMMUNIQUÉ DE PRESSE

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PRESSE

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